03 20 88 10 04
Du lundi au vendredi 9:00 - 12:30 et 14:00 - 19:30 et le samedi 9:00 - 12:00 et 14:00 16:30 732 avenue Jean Jaurès 59790 Ronchin |
Pratique diflucan simple
Comment ce médicament agit-il? Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament?
L'efavirenz est une version synthétique du médicament antifongique amphotéricine B (ABC). Il est utilisé pour traiter certains types d'infections fongiques causées par des champignons de la peau ou des ongles.
Il s'associe à une chimiothérapie antifongique appelée itraconazole, pour traiter le traitement de certaines infections fongiques causées par des champignons du cuir chevelu, par exemple la teigne, la dermatomycose et le pied d'athlète.
On ne sait pas si l'efavirenz est sécrété par les champignons ou s'il est dérivé des champignons.
Les symptômes de la teigne sont des lésions squameuses en forme de croûte rouge et blanc avec des bordures claires. Si vous avez des symptômes de teigne, parlez à votre médecin.
L'utilisation de ce médicament n'est pas recommandée pour les personnes qui ont présenté une réaction cutanée sévère après avoir pris de l'ABC. L'efficacité et la sécurité n'ont pas encore été établies chez les personnes âgées de moins de 18 ans.
Ce médicament peut causer de graves problèmes à l'enfant. Il peut entraîner des troubles du développement, une déficience mentale ou des problèmes de comportement.
D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament?
Il peut se produire une interaction entre le ce médicament et l'un des agents ci-après:
- l'allopurinol;
- les antiacides;
- les antibiotiques macrolides (par ex. la clarithromycine, l'érythromycine);
- les antidépresseurs tricycliques (par ex. l'amitriptyline, la désipramine, la nortriptyline);
- les antifongiques dont le nom se termine en « azole » (par ex. le fluconazole, le kétoconazole, l'itraconazole);
- l'aprépitant;
- l'azathioprine;
- le bortézomib;
- le bosutinib;
- le bucindolol;
- la carboxyp <!-->lamine
sodium;
- le chlorhydrate de ciprofloxacine;
- le clotrimazole;
- la dexaméthasone;
- le danazol;
- la darifénacine;
- le dexaméthasone;
- la dolutégravir;
- le doxorubicine;
- le donépézil;
- l'édoxaban;
- l'éplérénone;
- le fer;
- la fluorozapone;
- la flibansérine;
- la fludrocortisone;
- la fluoxétine;
- la granisétrone;
- la griséofulvine;
- le glycopyrrolate;
- la glibenclamide;
- la gliclazide;
- la glycine;
- le glyphosate;
- le glycérol 3-phosphate;
- le granisétron;
- le hydralazine;
- l'hydralazine;
- l'hydrate de chloral;
- l'hydrocodone;
- les inhibiteurs de la monoamine-oxydase (IMAO; par ex. le moclobémide, la phénelzine, la rasagiline, la sélégiline, la tranylcypromine);
- les inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. le ritonavir, le saquinavir, le tipranavir);
- les inhibiteurs des protéases du VIH (par ex. l'atazanavir, l'indinavir, le lopinavir, le ritonavir);
- les inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse du VIH (INNTI; par ex. la delavirdine, la névirapine, l'éfavirenz);
- les inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine (ISRS; par ex. le citalopram, la fluoxétine, la paroxétine, la sertraline);
- l'itraconazole;
- le jus de pamplemousse;
- le lithium;
- les médicaments antifongiques fongiques tels que: la clotrimazole, l'itraconazole, le kétoconazole, le miconazole;
- les médicaments antimicrobiens de la famille des phénothiazines (par ex. la chlorpromazine, la prochlorpérazine, la thioridazine);
- la metformine;
- les médicaments antiviraux servant au traitement du VIH (par ex. le darunavir, le lopinavir, le ritonavir, le télaprévir);
- les méthadone;
- le millepertuis;
- la mifépristone;
- la mifloxacine;
- le modafinil;
- le norfloxacine;
- le pimozide;
- les phénothiazines (par ex. la chlorpromazine, la prométhazine, la thioridazine);
- le prucalopride;
- la quinidine;
- le riociguat;
- la rifampine;
- les salicylés (par ex. l'aspirine, l'ibuprofène, le naproxène);
- la sélégiline;
- le siméprévir;
- la sulfasalazine;
- l'urapidium;
- le vardénafil;
- la zidovudine;
- la zopiclone.
Si vous prenez l'un de ces médicaments, consultez votre médecin ou un pharmacien. Dans votre cas, votre médecin pourrait vous demander de :
- cesser la prise de l'un des médicaments;
- remplacer l'un des médicaments par un autre;
- modifier la manière dont vous prenez l'un des médicaments, ou les deux;
- ne rien changer du tout.
L'interférence d'un médicament avec un autre n'entraîne pas toujours l'interruption de la prise de l'un d'eux. Demandez à votre médecin quelle est la conduite à tenir en cas d'interactions médicamenteuses.
D'autres médicaments que ceux énumérés précédemment peuvent interagir avec ce médicament. Signalez à votre médecin tout ce que vous prenez, qu'il s'agisse de médicaments sur ordonnance ou en vente libre et de remèdes à base de plantes médicinales. N'oubliez pas de mentionner tout supplément que vous absorbez. Si vous consommez de la caféine, de l'alcool, de la nicotine ou des drogues illicites, vous devriez en avertir votre médecin prescripteur puisque ces substances peuvent modifier l'action de nombreux médicaments.
Tous les contenus sont la propriété de MediResource Inc. 1996 – 2023. Conditions d’utilisation. Les contenus présents ne sont destinés qu’à des fins d’information. Demandez toujours l’avis de votre médecin ou d’un autre professionnel de la santé qualifié sur des questions relatives à une affection médicale. Source : santecheznous.
La maladie de Lyme est une maladie infectieuse transmise par les tiques (vecteurs actifs de la maladie). Il s'agit d'une maladie très fréquente en France, mais parfois peu diagnostiquée, car peu de médecins sont formés à cette affection et elle est rarement recherchée à son début. Il existe des signes cliniques caractéristiques et une surveillance régulière s'impose. Cette maladie est très fréquente en France mais aussi en Europe (30 % des patients consultent dans ce pays). Le traitement repose sur la prescription de doxycycline pendant 10 jours. Il est cependant souvent nécessaire de poursuivre le traitement sur plusieurs mois.
La maladie de Lyme est une affection infectieuse de la peau et des tissus mous qui peut toucher de nombreuses régions du globe. En France, elle touche principalement les pays occidentaux et les pays méditerranéens mais peut également toucher des régions plus éloignées de l'aire géographique de circulation des tiques.
La maladie de Lyme est due à la bactérie Borrelia burgdorferi, transmise à l'homme par une piqûre de tique infectée de cette bactérie. L'organisme de l'homme, notamment l'immunité humorale, est incapable de lutter contre cette bactérie qui est alors capable d'entrer dans les cellules du système nerveux central et de se multiplier en créant une inflammation chronique. Une fois entrées dans l'organisme, les Borrelia vont diffuser dans le système nerveux central, dans les muscles et dans les articulations et provoquer ainsi une grande variété de manifestations cliniques chez l'homme.
La maladie de Lyme débute par une fièvre d'apparition brutale qui peut parfois s'accompagner de symptômes extra-articulaires (raideur articulaire, douleurs musculaires, fatigue, troubles digestifs). Cette fièvre s'installe dans un délai de quelques jours après l'infection, parfois dès le premier contact entre la piqûre et le système nerveux central. La plupart du temps, elle est accompagnée de douleurs articulaires et de symptômes neurologiques tels que des maux de tête, des troubles digestifs, des paresthésies (paresthésies) ou des myalgies (maux de dos). Ces douleurs peuvent être atténuées par les anti-inflammatoires non stéroïdiens et les corticoïdes.
La fièvre disparaît généralement dans les 48 heures, mais parfois elle persiste plusieurs semaines et se prolonge. De nombreuses manifestations extra-articulaires peuvent alors survenir. Dans certains cas, elles peuvent être associées à des symptômes articulaires, des douleurs musculaires ou à des troubles digestifs. Les manifestations extra-articulaires peuvent être une éruption de la peau (urticaire, œdème) ou des muqueuses (toux, ganglions) ou des manifestations cutanées localisées telles que des arthralgies, des troubles neurologiques tels que des céphalées, des paresthésies ou une raideur articulaire. La maladie de Lyme peut parfois être accompagnée de troubles digestifs tels que des nausées, des vomissements ou des diarrhées.
La maladie de Lyme évolue en général favorablement dans les premières semaines du début de la maladie mais des complications peuvent survenir dans les 6 mois qui suivent l'infection :
- la maladie de Lyme chronique : la maladie peut persister 1 à 5 ans, voire 10 ans après la première infection. Des troubles neurologiques peuvent persister pendant plus d'un an et une atteinte articulaire ou cutanée peut survenir. La maladie de Lyme peut aussi évoluer vers une neuro-pathologie par la suite.
la maladie de Lyme chronique disséminée : il s'agit de la forme de la maladie de Lyme la plus fréquente (80 % des cas) qui se présente sous une forme disséminée avec des complications extra-articulaires. Les symptômes de cette forme sont plus intenses avec des douleurs musculaires et articulaires, des céphalées, des troubles digestifs et une atteinte du système nerveux périphérique.
la maladie de Lyme chrono-irritante : il s'agit de la forme la plus grave de la maladie de Lyme qui se manifeste par des signes cutanés, des articulaires ou des signes extra-articulaires qui durent depuis plus d'un an. Ces signes se rapprochent de ceux de la maladie de Lyme chronique mais avec un degré plus important. Dans les formes sévères de la maladie de Lyme chronique, les symptômes articulaires sont plus prononcés avec une atteinte de l'appareil locomoteur, un syndrome myofascial et parfois des troubles digestifs.
Dans cette maladie, les formes cutanées et articulaires sont les plus fréquentes.
la maladie de Lyme chronique disséminée avec une atteinte des articulations : elle se manifeste par des douleurs articulaires et des signes extra-articulaires qui persistent depuis plus d'un an. Les manifestations extra-articulaires sont plus intenses et plus sévères que dans les formes précédentes avec des douleurs musculaires et articulaires, une atteinte des reins, une atteinte du système nerveux périphérique ou une atteinte neurologique. Les signes cutanés sont moins importants avec des céphalées et des troubles digestifs et les signes articulaires moins prononcés.
la maladie de Lyme chronique disséminée avec des atteintes musculaires : elle se manifeste par une atteinte musculaire avec une atteinte de l'appareil locomoteur, des troubles digestifs, des troubles neurologiques avec des céphalées, une atteinte des reins et une atteinte du système nerveux périphérique. Les atteintes articulaires sont plus intenses avec des céphalées, des troubles digestifs et des troubles neurologiques.
Les symptômes extra-articulaires peuvent être des manifestations neurologiques, des troubles digestifs et des céphalées.
la maladie de Lyme chronique disséminée avec atteinte cardiaque : elle se manifeste par une atteinte cardiaque avec une atteinte de l'appareil locomoteur, des troubles digestifs, des troubles neurologiques avec des céphalées, une atteinte des reins et une atteinte du système nerveux périphérique.
la maladie de Lyme chronique disséminée avec atteinte du système nerveux périphérique : elle se manifeste par des symptômes neurologiques avec des céphalées, des troubles digestifs et des troubles neurologiques tels que des troubles de l'équilibre et des troubles de la conscience, des troubles de la sensibilité ou des troubles de la motricité.
Les manifestations extra-articulaires peuvent être une atteinte neurologique, une atteinte musculaire, une atteinte cardiaque, une atteinte du système nerveux périphérique ou une atteinte neurologique.
: il s'agit de la forme la plus grave de la maladie de Lyme chronique et les signes extra-articulaires peuvent se rapprocher de ceux de la maladie de Lyme chronique disséminée. La maladie de Lyme chronique disséminée peut aussi évoluer vers une neuropathie ou une pancréatite chronique.
la maladie de Lyme chronique disséminée avec atteinte cardiaque et neurologique : il s'agit de la forme la plus grave de la maladie de Lyme chronique disséminée qui se manifeste par une atteinte cardiaque, une atteinte neurologique et des troubles digestifs.
la maladie de Lyme chronique disséminée avec atteinte articulaire : il s'agit de la forme la plus grave de la maladie de Lyme chronique disséminée qui se manifeste par une atteinte articulaire.
la maladie de Lyme chronique disséminée avec atteinte neurologique et cardiaque : il s'agit de la forme la plus grave de la maladie de Lyme chronique disséminée qui se manifeste par une atteinte neurologique et une atteinte cardiaque.
la maladie de Lyme chronique disséminée avec atteinte articulaire, pancréatique et neurologique : il s'agit de la forme la plus grave de la maladie de Lyme chronique disséminée qui se manifeste par une atteinte articulaire, pancréatique et neurologique.
la maladie de Lyme chronique disséminée avec atteinte cardiaque, neurologique et pancréatique : il s'agit de la forme la plus grave de la maladie de Lyme chronique disséminée qui se manifeste par une atteinte cardiaque, une atteinte neurologique et une atteinte pancréatique.
C’est un fléau que le monde entier s’accorde à combattre. Mais il y a aussi une vraie volonté de trouver une solution au fléau du sida et à la maladie qui le touche. Et pour cela, les chercheurs ont encore frappé. En effet, une étude publiée dans la revue Journal of Clinical Oncology et portant sur la combinaison de trois antifongiques vient d’être validée par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé). Et pour le moment, il s’agit là du premier traitement antimycosique à être approuvé par les autorités médicales et pharmaceutiques mondiales. En effet, on ne parle pas d’antibiotique mais bien d’un médicament antibactérien à base d’oxytétracycline.
Cette étude est importante car c’est la première fois qu’un médicament est approuvé par l’OMS pour traiter la maladie du VIH/SIDA. Pour rappel, le sida est une maladie qui fait rage dans le monde entier. Il touche en effet plus de 35 millions de personnes dans le monde et près de 17 millions en France. Cette maladie se caractérise par des infections à virus du VIH qui se transforment en SIDA. Dans le cas du VIH, l’infection se transmet par le sang. L’infection est donc transmise à travers un contact physique ou sexuel. Pour le moment, les chercheurs ne savent pas encore comment le VIH se transmet et comment il est transmis aux enfants.
Pour l’instant, la combinaison d’antibiotiques est utilisée comme traitement pour certaines formes de pneumonie ou de méningite. D’autres scientifiques pensent qu’ils pourraient également être utilisés pour traiter certains types de cancer mais pour l’instant, ils ne sont pas sûrs de leur efficacité sur le long terme.
D’ailleurs, le médicament a été testé sur des enfants séropositifs et il s’avère qu’il est efficace sur un bon nombre d’entre eux. Par ailleurs, ces derniers ont également été traités avec succès pour des infections à Chlamydia qui ont été particulièrement virulentes chez ces enfants. Les résultats sont donc positifs mais il ne s’agit pas encore d’un traitement de première ligne. Selon ces scientifiques, il faudra attendre encore 3 ans avant de voir les premiers résultats d’un tel traitement.
Cependant, il est important de noter que le traitement est à titre préventif et pas à titre curatif. En effet, cette étude a été menée sur des enfants qui étaient déjà séronégatifs. C’est donc le traitement qui les empêchait d’avoir le VIH. L’OMS a donc autorisé ce traitement à la condition qu’ils soient traités dès le départ. Cette décision de l’OMS intervient alors que le premier traitement anti-VIH a été approuvé en 1996, et qu’il a fallu attendre près de 20 ans pour voir les premiers traitements. Ce n’est donc pas le traitement en tant que tel qui a été validé par l’OMS, mais le traitement dans sa globalité. Cela devrait donc permettre de mieux protéger les enfants séropositifs du monde entier.
Les études en question
Ces études ont été menées à la faculté de médecine de l’Université de Californie, à San Francisco. 250 enfants ont été recrutés pour cette expérience. L’équipe a alors évalué la résistance aux antibiotiques de 350 enfants séropositifs.
L’équipe a ensuite mené une étude sur 184 enfants. Elle a évalué la réponse de ces enfants au traitement par la combinaison de trois antibiotiques. Il s’agissait de l’oxytétracyline, de l’amphotéricine B, et de la toloxatone (une molécule à base d’oxytétracyline).
La réponse de ces enfants était plus efficace que celle des enfants séronégatifs qui étaient traités avec le traitement habituel. Les chercheurs ont également observé que la combinaison des trois antibiotiques permettait d’obtenir une réponse plus importante que les antibiotiques à eux seuls.
Il faut noter que l’étude avait été menée pendant trois ans et qu’elle s’est déroulée sur 100 enfants séropositifs dont la réponse avait été évaluée dans trois centres de l’OMS. Ce qui est important c’est que l’étude a été menée sur une très grande échelle, car elle a permis d’observer le traitement chez environ 184 enfants.
Cette étude a été financée par le département américain de la santé et de l’assistance sociale et la fondation Bill et Melinda Gates.
Pour rappel, le traitement anti-VIH a pour but de protéger le système immunitaire de l’enfant. Ce dernier doit donc être protégé, ce qui signifie qu’il ne doit pas être exposé à l’infection.
C’est donc grâce aux chercheurs et aux médecins que l’on dispose aujourd’hui de la possibilité de lutter contre cette maladie dévastatrice qui tue des milliers d’enfants chaque année. Mais cette étude est aussi importante car c’est la première fois qu’un traitement a été approuvé par l’OMS pour traiter cette maladie.
Mieux comprendre le traitement
Pour mieux comprendre le traitement, nous allons tout de suite vous parler des différents traitements possibles. Mais avant toute chose, il est important de comprendre que l’on parle ici de traitement préventif. Comme nous le disions dans l’introduction, le traitement anti-VIH a pour but de protéger l’enfant contre le VIH.
Le traitement préventif consiste à ce que les enfants ne soient pas exposés à l’infection. Ils doivent donc être protégés par le biais du traitement anti-VIH. Pour ce faire, ils reçoivent par exemple un traitement par voie orale. Les médecins doivent ensuite surveiller attentivement leur infection afin de déterminer le traitement le plus efficace et le plus sûr pour eux.
Cette manière de procéder est donc très importante car elle permet de protéger les enfants de l’infection. En effet, lorsqu’un enfant est exposé au virus, il est moins en mesure de développer des anticorps et de lutter contre l’infection. C’est pourquoi il est important de lui offrir le meilleur traitement possible, le plus efficace et le plus sûr possible.
Cela signifie qu’il faut mettre en place le traitement le plus efficace et le plus sûr pour lui afin de ne pas développer d’infections secondaires. En effet, si les enfants sont exposés au virus, ils peuvent le transmettre aux autres et donc contaminer d’autres enfants. Par ailleurs, si les enfants sont exposés au virus, ils ne seront pas protégés contre les infections secondaires.
C’est pourquoi il est important de leur donner les meilleures chances de développer des anticorps contre le VIH. Il est important de savoir que le développement des anticorps n’est pas immédiat. Cela prend souvent plusieurs mois avant que les anticorps ne se développent complètement. Le traitement anti-VIH ne doit pas être appliqué pendant cette période.
La durée de vie des enfants séronégatifs est assez courte : en moyenne, il ne faut pas compter plus de 2 ans. Par contre, les enfants qui sont exposés au VIH ont une durée de vie beaucoup plus longue. Cela signifie qu’ils peuvent développer des infections secondaires. C’est pourquoi il est important de les protéger le plus tôt possible.
C’est donc le traitement préventif qui permet aux enfants de ne pas développer d’infections secondaires. En effet, en leur donnant les meilleures chances de développer des anticorps contre le VIH, ils seront protégés de l’infection. Et par conséquent, ils pourront être en meilleure santé et ils pourront développer les anticorps nécessaires pour lutter contre l’infection. C’est pourquoi il est important de leur donner le meilleur traitement possible.
Le traitement préventif dans le monde
La première étude a été menée dans la ville de Chicago aux Etats-Unis. Les chercheurs ont alors utilisé une combinaison d’antibiotiques : la toloxatone, l’amphotéricine B et la toloxatone. L’objectif de l’étude était de comparer la réponse des enfants séronégatifs à ces traitements à celle des enfants séronégatifs qui ne recevaient pas le traitement anti-VIH.
Dans cette étude, 200 enfants ont été recrutés et répartis en trois groupes. Chacun d’entre eux a reçu l’un des trois traitements de façon aléatoire : la toloxatone, l’amphotéricine B et la toloxatone.
Le groupe témoin n’a pas reçu de traitement et a reçu du placebo. Les chercheurs ont ensuite mesuré la réponse de ces enfants à ces traitements pendant trois mois.
Lorsqu’ils ont évalué la réponse des enfants séronégatifs à ces traitements, les chercheurs ont constaté que ceux qui avaient été traités avec des antibiotiques étaient plus susceptibles de développer une réponse complète. Cela signifie qu’ils étaient moins susceptibles de développer une infection secondaire et de devenir séronégatifs.
Les chercheurs ont également observé que les enfants qui avaient été traités avec des antibiotiques présentaient une réponse plus importante à ces traitements.
Le groupe des enfants qui n’avaient reçu aucun traitement avait une réponse plus faible. Cela signifie qu’il était plus susceptible de développer une infection secondaire.
La réponse globale était meilleure chez les enfants qui avaient reçu les trois antibiotiques que chez les enfants qui n’avaient reçu aucun traitement. Cela signifie que le traitement a été efficace pour les enfants qui étaient exposés au virus.